Et très originale, que vient de partager mon amie Véronique, à propos de l'un de ses voisins qui a mis à disposition des passants des pieds de courge géante qu'il avait en trop !
Merci à lui ! C'est bien sûr toujours une excellente idée de partager ;-)
Pour les amateurs de chats, le changement de litière est toujours un moment assez... peu agréable finalement. Pourtant, des astuces peuvent être envisagées, notamment pour que la tâche soit plus
aisée.
Avec l'arrivée des filles, j'ai décidé que la litière du chat serait dorénavant dehors ! J'ai réservé un parterre proche de la maison à cet usage, légèrement abrité afin qu'il ne soit pas inondé
en cas de pluie.
J'ai placé dessus de la litière de chanvre (acheté en jardinerie/animalerie et remplaçant avantageusement les litières minérales 1er prix) qui dure plusieurs mois, pourvu qu'on prenne le soin de
l'entretenir régulièrement, en enlevant notamment les plus gros présents... une fois de temps en temps.
Depuis notre nouvelle organisation, plus de problèmes de petites (mauvaises) odeurs, plus de litière éparpillée à ramasser quand le chat est passé, des économies certaines (même si le chanvre
peut paraître plus cher au départ, il dure très très longtemps), et surtout, le plaisir de ne plus avoir ce "plat" à chat dans lequel tombe inévitablement tout ce que l'on ne voudrait pas.
C'était facile à réaliser, fallait juste y penser !
Vu à la Rochelle, un paillage d'un genre nouveau, très original et parfaitement esthétique, raccord avec le port que l'on peut imaginer en arrière plan, le paillage de coques !
Si les amendements offerts par la décomposition des coques laissent dubitatifs... il n'en reste pas moins que l'aspect esthétique "effet bord de mer" est parfaitement réussi... À faire chez soi
(at home) et pourquoi pas avec les coquilles d'huîtres amoncelées pendant les fêtes ?
C'est vrai ça, à part des cendriers, on peut faire quoi avec les coquilles d'huîtres vides ?
Bonne nouvelle pour la Coccinelle, vu ce qu'on trouve dans les poubelles de la région, il y a encore de belles choses à réaliser ;-)
Petit rappel donc pour les plus étourdis :
Pas la peine de mettre vos sacs végétaux dans les containers, ils seront ramassés quand même* !
* Et envoyés sur une plate forme de compostage.
Ceci étant, pour ceux qui le peuvent, l'avenir de la planète appartient à ceux qui arriveront à se débrouiller sans les sacs, ni les camions qui transportent les sacs, pour finalement aller faire
plus loin ce que nous pouvons réaliser dans nos jardins.
Pour faire un bon compost, alternez couches humides et sèches, mélangez de temps en temps, broyez (avec un broyeur à végétaux que l'on peut acheter à plusieurs) les branches pour qu'elles se
décomposent plus vite, et bien sûr utilisez le résultat de votre compost au jardin comme amendement pour vos plantes et au potager.
Des économies pour vous, la planète et la collectivité ! Et un grand merci à mon ami Stéphane pour ses conseils avisés.
Il y a
quelques jours, les immenses (je dis bien immenses !) lauriers qui longent ma route matinale ont été taillés. Une coupe si sévère qu'en passant à l'aller, j'ai pensé qu'il serait bien difficile
de caser tous ces branchages dans le petit camion paysager. Sur le retour, j'ai compris que l'ingéniosité des jardiniers et les avancées technologiques (aux traits d'une superbe broyeuse
électrique) avaient permis de transformer l'ensemble des branchages... en sublime paillage ! Gain de place, résolution des problèmes de transport et de recyclage et protection des arbustes
taillés, comme de leurs copains voisins, contre le froid hivernal... Que des points +++ !
Et si les solutions pour préserver la nature étaient toujours si simples et si proches de nous ?
Pas totalement neuve en réalité mais c'est la première fois que je regarde mon lapin sous cet angle-là !
Sorti habiter dans le jardin pour cause d'allergie supposée de ma grande fille, il boude depuis les carottes journalières que je lui donnais. Plus besoin de verdure achetée, sa nourriture il se
la trouve tout seul ! Au menu en ce moment, très diversifié, une fin de prairie sauvage, des amours en cage, des feuilles tombées et un peu jaunies et sans doute de nombreux autres mets !
Habitué à vivre en liberté, à la maison comme au jardin, il se plait à farfouiller et à creuser des terriers. Un lapin épanoui je vous dis !
L'idée m'avait été soufflée il y a quelques semaines par mon amie Anne-Laure (qui fait de très jolis patchs !) et c'est le cœur plein d'espoir que nous avions alors enterré avec ma grande fille
les trois pommes de terre de Noirmoutier germées qu'il nous restait. Une fois en terre, les plants sont rapidement sortis et ont bien poussé durant l'été.
Dimanche soir, ces mêmes pieds déperrissant, nous avons entrepris de partir à la recherche de leurs petits ! Chasse au trésor d'un nouveau genre, elle a ravi nos deux filles qui poussaient des
"oh !" à chaque découverte. Au final, 12 charlottes mignonnes comme tout, presque plus belles les unes que les autres. Inutile de vous dire que ce fut un régal ! Du moins à ce qu'il parait... car
elles n'en ont pas laissé une miette !
L'année prochaine c'est décidé, on troquera nos pieds de tomates pour des charlottes, la récolte sera encore plus prolifique !
Il y a
quelques années, quand notre noyer est mort, nous avons pris la décision de ne couper du bel arbre qu'il était que les branches fragilisées et de conserver ainsi le maximum de son tronc. Nous
avions remarqué que cet arbre était un lieu de refuge pour beaucoup d'espèces et qu'il était dommage de supprimer, en l'abattant, gite et couvert à de nombreuses petites bêtes.
Aussi, une fois les branches cassantes coupées, nous avons pris soin de poser sur notre tronc quelques abris à insectes : coccinelles, papillons et abeilles solitaires trouveraient de quoi se
loger chez nous ! Et pour relier ces différents habitats, nous avons laissé pousser autour de ces abris des chemins de lierre, comme autant de petits corridors écologiques.
Aujourd'hui, nous devinons les abris derrière le lierre tombant aux baies riches et nourrissant de nombreuses espèces. À l'automne, des champignons envahissent le pied de notre totem, avant
de fondre et de se décomposer. Durant l'été, nous entendons les déplacements bruyants de lucanes cerf-volant. Notre arbre est un lieu de vie magique qui nous procure, à chaque saison, de
multiples plaisirs.
Faites comme nous, n'hésitez pas à laisser pousser la vie !
Sur le chemin qui mène à la crèche et que je prends tous les jours, nous avions repéré cet été avec mon chéri un superbe pied de pois de senteur. En repassant par là il y a quelque temps, j'ai
remarqué que les graines étaient prêtes à tomber. J'ai pris soin d'en prélever quelques-unes afin d'en replanter au printemps prochain dans notre petit jardin expérimental.
C'est en avril que nous pourrons replanter les graines récoltées cet automne. En attendant le printemps, je vais les conserver dans un endroit frais et sec.
Très économique, la récolte de graines dans la nature permet plus généralement de faire pousser dans son jardin des plantes bien adaptées au climat de sa région. Le troc entre voisin est
également à recommander ! J'ai, en ce qui me concerne, de merveilleux voisins qui alimentent régulièrement notre jardin de plantes qui prospèrent chez eux ou dont ils ne veulent plus.
Rendez-vous l'année prochaine pour savoir comment nos pois de senteur auront poussé !